Jusqu'il y a peu, l'accompagnement procuré par les travailleurs sociaux était effectué sous couvert d'une institution, publique ou associative. L'idée même qu'un assistant social puisse travailler sans "institution" n'effleurait personne.
Que s'est-il passé pour qu'un tel revirement de pensée arrive? Qui sont ces travailleurs désireux d'indépendance? Quelles garanties de sérieux peut-on leur allouer?
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